Pierre Fitzgibbon annonce une hausse des prix chez Hydro-Québec

Mauvaise nouvelle pour ceux et celles qui auraient aimé économiser sur la facture d'électricité dans la prochaine année.

Comme le rapporte TVA Nouvelles, Pierre Fitzgibbon, le ministre de l'Énergie, a récemment déclaré que les tarifs d'Hydro-Québec devront être revus à la hausse.

Une hausse des tarifs d'électricité est inévitable, prévient le ministre de l'Énergie, Pierre Fitzgibbonhttps://t.co/GYo3D58KWu— TVA nouvelles (@tvanouvelles) March 16, 2024

Cette annonce a évidemment suscité de nombreuses réactions négatives parmi les citoyens du Québec sur les réseaux sociaux car se sont eux qui devront payer la note au bout du compte.


On peut dire que cette décision contraste légèrement avec l'engagement du Premier ministre, François Legault, de limiter l'augmentation des tarifs résidentiels à 3 %.

Pour sa part, Fitzgibbon a mis de l'avant la nécessité d'ajuster les coûts des services fournis par Hydro-Québec en raison des pressions considérables sur l'entreprise et il considère que la restriction à 3 % n'est qu'une solution temporaire et non viable à long terme.

En fait, le ministre de l'Énergie critique la consommation énergétique des Québécois, en déclarant qu'ils sont peu performants en matière de responsabilité énergétique, et plaide pour une amélioration de l'efficacité et de la sobriété énergétique.

Pour ce qui est des différents commentaires en ligne, ils vont dans tous les sens, suggérant même l'attente des prochaines élections pour un changement de direction politique, en passant par des recommandations comme entre autres l'utilisation du chauffage au bois, ou bien le passage à l'énergie solaire.

À noter que la question concernant la fourniture d'électricité à des tarifs réduits aux entreprises a été soulevée mais il semblerait que ces réponses illustrent certaines inquiétudes et les suggestions diverses des citoyens face à l'annonce de l'augmentation des tarifs électriques.

Source MonFric.ca :
Une augmentation des prix d'Hydro-Québec est inévitable, estime Pierre Fitzgibbon